217801 km : Ce matin, comme il fait beau nous nous dirigeons vers l’extrémité nord de la péninsule, plus exactement à Leadbetter Point Trail Head, Notre balade débute le long de la baie.





Et se poursuivra dans la forêt… toujours habitée par l’ours et le cougar 🤪. Le sentier, à certains endroits, est très étroit 🥴 Nous utilisons toujours les mêmes techniques pour les maintenir à distance 🤣🤣 !

Wahou, quelle arrivée magnifique 🤩. Nous débouchons sur une immense plage de sable 🏖


Les vagues sont toujours aussi impressionnantes !

La plage est sans fin et surtout… nous sommes seuls au monde !

Le soleil est présent, super 😎 !


Moment précieux pour juste admirer la beauté du site.

Comme notre balade est une boucle, nous quittons cet endroit paradisiaque

balayé par le vent

pour retourner dans la forêt mystérieuse 👻….

La forêt s’éclaircit ; nous approchons du parking.

Nous reprenons la route et nous traversons la jolie petite ville d’Oysterville, fondée en 1841 par des ostréiculteurs (comme son nom l’indique 😉). La plupart des maisons sont inscrites au registre national des lieux historiques.




Nous partons ensuite en direction du Cape Disapointment State Park. À l’extrémité sud-ouest de l’État de Washington, les courants rapides du fleuve Columbia se heurtent aux vagues déferlantes du Pacifique, créant une masse d’eau tumultueuse et un labyrinthe de bancs de sable mouvants.
Le nom « Cap Disappointment » vient de l’explorateur anglais John Meares, qui n’a pas réussi à trouver la rivière Columbia lors de son voyage en 1788. Il a pris l’embouchure du fleuve Columbia pour une baie. Contrarié, il nomma le cap « Cape Disappointment » et la baie « Deception Bay ». Beaucoup de déceptions pour un seul homme 🥴.
Cette zone dangereuse est surnommée le Cimetière du Pacifique : ses eaux ont été le théâtre de centaines de naufrages au cours des deux derniers siècles. Le Cap Disappointment offre une vue imprenable sur ce spectacle naturel.

Les vagues de Cape Disappointment sont connues pour être puissantes et dramatiques, en particulier lors des tempêtes ou des grandes marées lorsque les vagues s’écrasent contre les falaises.

Au Cap Disappointment, le plus grand fleuve de la côte Ouest rencontre le plus grand océan du monde. De ce promontoire rocheux, nous pouvons voir la confluence de ces deux éléments puissants. Au loin, on aperçoit les vagues créées par leur puissante rencontre.

Une autre rencontre, plus paisible… des jeunes wapitis. La présence des visiteurs ne les gêne absolument pas dans leurs occupations.

Ils sont trop mignons 🤩



Après cette journée iodée, nous retournons à notre bivouac Harvest Host et surtout à son super restaurant 😋.
217885 km : Ce matin, 3 novembre, nous avons fait les vidanges, le plein d’eau, et de gasoil à 0,965 €/litre 😊. Il faut bien de temps en temps gérer l’intendance 😁. C’est sous la pluie que nous nous dirigeons vers Portland.
Au loin, caché par la brume et la pluie, le pont Astoria-Megler que nous allons emprunter pour traverser l’immense fleuve Columbia.

Le voilà d’un peu plus près 🤓 Inauguré en 1966, ce pont à deux voies de circulation présente une longueur totale de 6,545 km. L’ossature a été conçue pour résister à des vents de 240 km/h et les piles, pour résister à une vitesse de courant de 14 km/h. Il pleut mais nous n’avons pas 240 km/h de vent… Nous pouvons donc l’emprunter sans crainte 🤞




Pas de soleil ni éclaircies à l’horizon.

Les bouchons nous accueillent à l’entrée de Portland. Toujours sous la pluie…

Le parking visé pour dormir, sur lequel nous avions vu par satellite des camping-cars garés, est en fait un parking d’hôpital qui accueille patients et familles des patients lorsque ceux-ci viennent pour des soins ou des visites. Ne sachant pas que cela existait (excellente idée par ailleurs 💡), nous nous sommes fait surprendre et nous sommes retrouvés dans l’obligation de partir. Petit tour de ville, de nuit, sous la pluie, pour trouver une solution (on adore ces circonstances 😵)
Notre bivouac du soir sera dans une charmante petite rue résidentielle de la ville. Nous croisons les doigts 🤞pour ne pas être chassés car l’endroit nous plaît bien.
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Toujours un régal de voir vos reportages. Seattle m’a beaucoup plu par le contraste du quartier ancien et du nouveau. Marc est heureux entouré de tous ces avions. Ce n’est pas monotone, tous les jours un paysage différent entre ville, (beaucoup aimé aussi les maisons de la petite ville d’Oysterville) mer et forêt et même pas peur des grosses bêtes 😂. A bientôt pour la suite. Bises
La route vers Los Angeles nous permet de découvrir des endroits magnifiques et cela nous fait très plairsir de les partager sur notre blog. Merci pour ton message qui nous encourage à continuer 😊. Bises
Bonjour
Nous aussi il y a de la brume,😀
He gege le maillot de bain.
Bises à vous deux
Pas de maillot de bain… trop de vagues et l’eau est trop froide 🤪 ! On va attendre de retrouver le soleil et la chaleur… Ça ne va pas tarder 🤠😎 ! Bises à tous les 2