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17 juillet : La ville de Québec 1/2

183197 km : Après une nuit bercée par les 2 beaux spectacles que nous avions vus, nous quittons Saguenay en direction de l’Anse-St-Jean. Nous ferons une halte au bistro-brasserie « la Chasse-Pinte », vivement conseillé par notre guide touristique… les bons conseils sont toujours à suivre 😂😜 !

Beau choix de bières et de cidre 😜 !

On avait dit plus jamais de poutine mais… la poutine au cerf est trop tentante 😁… quel délice et rien à voir avec les précédentes ! Pas de fromage pour Marc… ce sera un hamburger au cerf. Avant de quitter cet endroit sympathique, une visite à la micro-brasserie s’impose 😜 !

Une façon efficace d’obliger les automobilistes à ralentir aux passages-piétons… on rétrécit beaucoup la voie de circulation avec des obstacles flexibles mais assez hauts 😜 En camion, cela passe tout juste. Il y en a parfois 3 pour ralentir les deux sens de circulation.

Petite pause au bord de la route…la vue est trop belle 🤩

Cette journée sera marquée par le passage de nos 10000 kilomètres au Canada en 66 jours de voyage. 1000 kilomètres par semaine quand même, le double de ce que nous pensions, mais le pays est tellement grand…

Nous nous arrêtons bivouaquer à la ferme « Safran du Nord » du 14 au 15… encore un emplacement Terego 😉 ! Les principaux pays producteurs de safran sont l’Iran, l’Inde, la Grèce, l’Afghanistan, le Maroc, l’Espagne. Et maintenant après la France, le Québec ! Le climat du Québec est parfait pour la culture du safran qui résiste bien à l’hiver. Le safran requiert un sol léger et bien drainé pour ne pas pourrir au moment du dégel. La période de plantation des bulbes de « Crocus sativus » s’échelonne du mois d’août à la mi-septembre. Les fleurs s’épanouissent 4 à 6 semaines plus tard. C’est alors que la récolte de l’épice débute. Nous avons acheté du vinaigre basalmique au safran… Il est très parfumé !

Belle vue sur les Laurentides depuis notre bivouac.

183386 km : Ce matin, nous nous dirigeons vers le Parc des Hautes-Gorges de la rivière Malbaie situé dans les Laurentides.

Après avoir pris des renseignements auprès du bureau d’accueil du parc, nous partons faire la randonnée « Le riverain » (environ 11 km). Comme il fait très chaud, il nous est déconseillé de faire la balade des Draveurs plus longue et plus technique… ce sont nos cheveux blancs qui orientent leur réponse 🤔 ?

Le paysage est magnifique et il fait très chaud… 32 degrés 🥵 !

La forêt est belle !

Nous voilà au sommet où nous trouvons un peu de fraîcheur… Le vent est le bienvenu !

Un beau tapis de lichen

Nous sommes dans les Laurentides, une des plus anciennes chaînes de montagnes de la planète. Il y a des millions d’années, leur hauteur était comparable à celle de l’Himalya ! Sous l’effet répèté des mouvements de l’écorce terrestre, le sol rocheux s’est fracture entraînant l’apparition de nombreuses failles. Au fil du temps, ces failles ont été soumises à l’érosion par l’eau, la glace et le vent.

Cette affiche nous permet de situer la vallée suspendue locale, vestige d’un petit glacier.

L’ancienne vallée glaciaire dans toute sa beauté et son immensité 🤩 !

Les traces de l’érosion glaciaire sont encore bien visibles !

Que c’est beau 🤩 !

Notre balade s’achève au pied du barrage des anciens draveurs. Lieu où les billots de bois étaient jetés dans la rivière pour rejoindre la pulperie.  

Pour retourner au camion, nous prendrons la navette. Nous avions émis l’idée, juste l’espace d’un instant 🤣 de faire le chemin de retour à pied mais la chaleur nous en a découragés 😁.

Juste avant de quitter le parking, nous  découvrons une autre façon de vider les containers-poubelles… facile et rapide 😜 !

Ce soir, ce sera un nouveau bivouac Terego à la ferme Ambrosia (élevage de canards). Bien évidemment, nous y ferons quelques petits achats 😜 !

183472 km : Ce matin, nous quittons ce bel endroit pour nous rendre aux chutes de Montmorency. On se rapproche de plus en plus de Québec !

Les chutes Montmorency est une chute d’eau située à l’embouchure de la rivière Montmorency. Elle se déverse dans le fleuve Saint-Laurent.

Si on le souhaite, un escalier de 487 marches permet de l’observer depuis le bas.

La chute, d’une hauteur de 83 mètres, est la plus haute de la province de Québec et dépasse de trente mètres les chutes de Niagara. La profondeur du bassin au pied de la chute est de dix-sept mètres.

Depuis la passerelle, nous avons une belle vue sur la cascade avec le fleuve St Laurent au loin et le pont qui relie la province à l’île d’Orléans.

Une jolie rencontre avec un petit écureuil pas craintif du tout 😊 !

La ville de Québec n’est vraiment pas loin 😜 !

Depuis les escaliers, une autre vue sur les chutes. Curieusement les troncs d’arbres s’agglutinent au pied de la cascade (sur la droite)

Un brumisateur naturel !!

Il fait beaucoup trop chaud pour aller jusqu’au brumisateur 😂… nous nous arrêterons à mi-chemin.

Quelques intrépides iront voir la chute de plus près avec la tyrolienne (un est visible sur la photo 😯). Nous, on préfère les regarder depuis les escaliers !

Nous nous dirigeons ensuite vers notre bivouac québécois du soir à l’Anse-aux-Foulons. La circulation n’est plus la même…

Nous y retrouverons nos voyageurs français et hasard incroyable… un couple de nancéiens en court séjour avec leurs 2 petites filles. Nous passerons une très belle soirée tous ensemble  !


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