9 février : Ringling museum (FL)
11 et 12 février : Orlando (FL)

192694 km : Nous avons quitté Naples il y a quelques jours et nous arrivons maintenant à St Petersburg, mais toujours en Floride. C’est vraiment surprenant cette similitude de noms. Mais si vous voulez découvrir St Petersbourg en Russie, c’est plutôt par ici 😉 :

Pour nous rendre à St Petersburg, en Floride 😉, nous empruntons un joli pont à haubans.

La ville a été créée en 1892 par 2 promoteurs : John C. Williams et Peter Demens. Elle a été nommée Saint-Pétersbourg en souvenir de la ville russe où Peter Demens avait passé la moitié de sa jeunesse.

Nous nous arrêtons à St Petersburg pour visiter le musée Salvator Dali. Le musée abrite la plus grande collection au monde du maître espagnol : plus de 2100 œuvres à partir de tous les moments et dans tous les domaines de son activité artistique.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Dalí et son épouse Gala s’installent aux Etats-Unis. Ils y resteront jusqu’en 1948. Ces années ont été très importantes pour lui. C’est là qu’il va rencontrer Reynolds et Eleanor Morse.

La collection présentée au musée fut réunie par A. Reynolds Morse, un industriel, et sa femme Eleanor Morse, sur une période de 45 ans. Le couple acquiert une première œuvre de l’artiste en 1943. Devenu amis de Gala et Salvador Dalí, ils devinrent mécènes de ce dernier.

Ouvert au public en 2011, le musée est conçu pour résister à des tempêtes de catégorie 5 (St. Petersburg est dans une zone exposée aux tempêtes tropicales et aux ouragans)… donc pas d’inquiétude 😜 !

Le Maître nous accueille avec ses moustaches bien reconnaissables !! Salvador Dali (1904-1989) est considéré comme l’un des principaux représentants du surréalisme et comme l’un des plus célèbres peintres du 20ème siècle.

Ici sont exposées les peintures réalisées dans sa jeunesse. Très tôt, Salvador Dali manifeste une attirance pour l’art figuratif et la peinture, révélant déjà sa personnalité originale et inspirée. Il suit des cours particuliers de dessin.

Ce tableau représente Cadaqués, un petit village de pêcheurs méditerranéen. Dalí a dit un jour que c’était l’endroit qu’il avait adoré toute sa vie avec, je cite, « une fidélité fantastique ». Il prétendait connaître par cœur le contour de chaque rocher et l’étendue de chaque plage.

Salvador Felipe Jacinto Dalí i Domènech est né en 1904 à Figueres, en Espagne, une petite ville agricole située près de la frontière française. Mais sa famille passait ses étés à Cadaqués, où Dalí commença à peindre. L’intelligence et le talent de Dalí étaient évidents dans son travail et, à l’âge de douze ans, il avait déjà décidé de devenir artiste.

Il a réalisé cette toile à treize ans, juste après avoir découvert l’impressionnisme français. Vous pouvez voir l’influence de ce style dans le travail au pinceau doux et fluide. Reynolds Morse a décrit le crépuscule à Cadaqués comme «surnaturel», un sentiment que Dalí a capturé ici avec des couleurs éclatantes.

À quatorze ans, en 1919, Dalí participa à une exposition collective d’artistes locaux au théâtre municipal de Figueras, où plusieurs de ses toiles furent remarquées dont celle-ci.

Le style de cette peinture de Cadaqués (1923) est tr­ès différent de celui des autres tableaux exposés dans le musée. Ici, Dali abandonne les couleurs intenses et les coups de pinceau souples des Impressionnistes, pour adopter des structures plus amples qui vont prendre une importance croissante dans son œuvre. Les maisons blanches du village sont représentées par des cubes géométriques solides et le paysage apparaît sous forme de courbes. Dali utilise sa jeune sœur Ana Maria comme unique modèle pour toutes les jeunes femmes dépeintes en premier plan, rendant ce tableau d’autant plus harmonieux.

Dalí réalise ce paysage après avoir complété sa deuxième année à l’Académie royale des beaux arts de San Fernando à Madrid où il suit une formation rigoureuse sur les techniques de peinture traditionnelles. Pendant cette période, il étudie et intègre également les techniques des artistes contemporains d’avant-garde comme Picasso. Dalí explore et maîtrise donc plusieurs approches avant d’arriver à son propre style.

Pendant ses études à l’Académie, Dalí se lie d’amitié avec deux grands artistes espagnols – le cinéaste Luis Buñuel et le poète et dramaturge, Federico García Lorca. Les trois hommes collaborent d’ailleurs sur différents projets par la suite pour devenir des précurseurs, chacun dans son propre domaine.

Dali réalisa « La Corbeille de pain » en 1926. Les premières critiques barcelonaises furent chaleureuses. Dalí fut par la suite expulsé de l’Académie en octobre 1926, peu avant ses examens finaux, pour avoir affirmé que personne n’était en mesure de l’évaluer tant il était un génie !!

Dali peint ce tableau d’un réalisme intense pour prouver qu’il maîtrise totalement cette technique. Il y reproduit minutieusement les différentes textures – les formes irrégulières de la corbeille tressée … la croûte sèche du pain … et la douce lumière qui s’épanche sur chaque pli du linge blanc. Fidèle à la tradition des natures mortes espagnoles, Dali imprègne la scène d’un profond mystère.

Dalí exprime plus tard, lorsqu’il y réfléchit, que de toutes ses toiles sur le pain, celle-ci satisfaisait au mieux son imagination. Le réalisme minutieux de cette oeuvre marque l’apogée de Dali dans ce domaine. Dali se sent maintenant libre d’expérimenter des styles nouveaux et des thèmes différents.

Appareil et main (1927) : Au centre d’un paysage bleu tourbillonnant, une étrange créature au torse surdimensionné, que Dali nomme «appareil», prend un appui précaire sur une canne rouge et blanche. Le personnage est surmonté d’une main rouge écorchée d’où jaillissent des étincelles, et entouré d’images surréalistes telles que des femmes nues, des seins flottants, et un âne translucide au ventre gonflé par un essaim de mouches. Ces motifs sont disposés de telle manière que le tableau fait penser à l’atmosphère irrationnelle d’un rêve. Ces images troublantes évoquent la sexualité, le désir, et la décomposition, thèmes que l’on retrouve dans toute l’œuvre de l’artiste.

Cette toile révèle l’artiste en transition, alors qu’il commence à se rallier au mouvement d’avant-garde Surréalisme, rejetant ce qu’il appelle l’état “putréfié” de l’art traditionnel. Elle suggère l’influence de Dada qui repoussait l’esthétique traditionnelle en lui préférant une imagerie irrationnelle et parfois choquante. Dalí utilise le terme “Anti-Art” pour décrire ses nouvelles oeuvres.

Les Manifestes du surréalisme rédigés par André Breton, le père du surréalisme. Le premier livre est paru en 1924, le second en 1929 et le 3ème en 1942. Salvador Dali a rejoint le mouvement en 1929 et en fut exclu par André Breton en 1934 pour des divergences artistiques mais cela ne l’a pas empêché de poursuivre dans le surréalisme.

Les Remords de conscience, réalisé en 1930.

Une jolie peinture de Gala réalisée entre 1932 et 1933.

Cette oeuvre de 1934 est tirée d’une toile du 19ème siècle de l’artiste français Jean-François Millet, «L’Angélus», représentant un couple de paysans en position similaire qui prient dans un vaste champ. Pendant toute l’enfance de Dali, cette peinture de Millet est maintes fois reproduite dans la culture populaire, et elle finit par le hanter pour le reste de sa vie. Une reproduction orne les murs de sa salle de classe, et devient une source de rêvasseries et de fantasmes enfantins. Tout au long de cette période de sa vie, les deux figures lui apparaissent à plusieurs reprises dans des endroits insolites. Il commence alors à penser que cette œuvre incarne une vérité universelle sur les relations humaines.

Les monuments en ruine sur cette plage éclairée par la lune évoquent un couple primordial. La femme, sur la droite, se penche vers l’homme, son image faisant penser à une mante religieuse qui dévore son partenaire après la fécondation. Au centre du premier plan se trouve un jeune Dali dont le père montre des statues du doigt. Aux pieds de la femme, un autre Dali contemple le couple avec sa gouvernante assise.

Dalí écrit : «L’homme était celui qui paraissait le plus déformé par l’action mécanique du temps. Il ne restait pratiquement rien de lui sauf le bloc flou et informe de sa silhouette, qui dégageait ainsi une angoisse terrible et bien particulière.» Cette angoisse est engendrée par la relation qui existe entre ces deux personnes. Dali ressent peut-être la même angoisse dans son vécu avec les femmes qui lui sont proches.

Dans cette vision surréaliste de « L’Angélus », Dali semble dévoiler le mythe ancien de la femme fatale qui subjugue le mâle en menaçant de le détruire.

Salvador Dali a réalisé en 1934 les illustrations du livre les « Chants de Maldoror » écrit entre 1868 et 1869 par l’écrivain uruguayen Isidore Ducasse et publié sous le pseudonyme de Comte de Lautréamont.

L’une des plus grandes contributions de Dali au surréalisme fut le concept d’objet surréaliste. La Vénus de Milo avec des tiroirs et des pompons (1936) inspirée par la Statue d’Aphrodite est l’objet surréaliste le plus élégant réalisé par Dali.

Les Surréalistes définissaient ce type d’objet comme des «objets de rêve» destinés à ébranler notre sens de la réalité. Dali a réalisé un certain nombre d’objets surréalistes comiques et extraordinaires.

Ce téléphone en forme de homard réalisé entre 1936 et 1938 montre à quel point Dali était un artiste éclectique et fantasque ! Théoriquement, l’idée de cette œuvre germe dans l’esprit de Dali alors qu’il fait un repas de homard avec des amis. L’un des convives balance une coquille de homard qui atterrit sur un téléphone.

Cette oeuvre illustre l’essence même des principes du Surréalisme. En associant des objets qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre, Dali transforme un élément du quotidien en quelque chose de fascinant. Le téléphone suscite toutes sortes d’images et d’associations. Pour Dalí, il évoque l’artiste néerlandais, Vincent Van Gogh, qui s’est coupé un bout d’oreille pour le donner à une femme.

Après tout, un véritable homard aurait pu facilement lui enlever un bout de lobe. Dalí admirait Van Gogh dont la folie lui permettait de voir le monde d’un point de vue unique. Le «Téléphone Aphrodisiaque» est un hommage parfait à la folie artistique.Après avoir créé cette œuvre, Dali insiste sur son absurdité, et celle de la vie en général, en déclarant : «Je ne comprends pas pourquoi, lorsque je commande un homard grillé dans un restaurant, on ne me sert jamais un téléphone cuit. Je ne comprends pas pourquoi le champagne est toujours servi frais, alors que les téléphones, qui sont toujours si effroyablement chauds et désagréablement poisseux au toucher, ne sont pas eux aussi présentés dans des seaux en argent avec de la glace pilée tout autour.” 😳🙄🙄

Dali peint cette toile en 1940. L’image exprime les horreurs de la Deuxième guerre mondiale. La silhouette étirée au centre de la toile représente Dalí lui-même. Au fond, à gauche, un canon tire un cheval dont le corps se décompose sous nos yeux. Sous le cheval, un avion ramolli s’affaisse au sol, affaibli. De l’aile droite de l’avion émerge Niké, la déesse grecque de la victoire, enveloppée de bandelettes. Selon le dicton français, l’araignée du soir est un signe d’espoir, celle représentée sur le visage de Dali évoque donc l’espoir, avec une touche d’ironie.

Il s’agit de la première peinture réalisée par Dali lors de son séjour aux USA. Cette œuvre fut la première acquise par les époux Morse en 1943. Elle marqua le début d’un mécénat et d’une longue amitié !

Le marché aux esclaves avec l’apparition du visage invisible de Voltaire (1940) Ce tableau est un véritable défi visuel, avec une superposition constante de deux images distinctes. Sur la gauche, une femme s’appuie sur une nappe de velours rouge alors qu’elle observe une scène de marchands dans un marché d’esclaves.

Le buste dépeint Voltaire, philosophe du 18ème siècle, dénommé le siècle des Lumières. Voltaire préconisait le rationalisme et incarne donc l’antithèse de Dali qui cherche à explorer le monde mystérieux de l’inconscient. Dali croit que d’une façon générale, les gens sont esclaves de la pensée rationnelle. Les images dédoublées telles que celle-ci nous obligent à envisager la possibilité que la raison ne mène pas forcément à la vérité. Au fond, laquelle des deux images est la plus juste : le buste ou le marché d’esclaves ?

Durant son séjour aux États-Unis, Salvador Dali a collaboré avec le bijoutier argentin Carlos Alemany. Ce bijoux a été créé en 1949.

La désintégration de la persistance de la mémoire (1952-1954) Cette toile commencée en 1952, fait référence à la découverte de l’énergie atomique. Certains éléments de ce tableau, tels que l’océan, semblent se fragmenter en atomes minuscules. Dans les années 50, beaucoup de gens trouvaient la théorie de l’atome inquiétante du fait qu’elle perturbait le sentiment d’ordre et de stabilité.

Une pluie de jasmin (1954), tableau réalisé pendant sa période mystique. Pour Salvador Dali, le jasmin est, dans la religion catholique, un symbole de pureté et de l’amour de Dieu. Il adorait le parfum du jasmin.

La découverte de l’Amérique par Christophe Colomb (1958-1959). Il s’agit de la plus grande peinture réalisée par Salvador Dali, environ 4 mètres de haut.

Ce tableau épique, tant par ses dimensions que par son sujet, célèbre la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb. Dali dépeint un jeune homme idéalisé, vêtu d’une robe blanche aux formes fluides. Il apparaît au premier plan, avançant d’un pied ferme sur le sol du Nouveau Monde.

Dalí assimile cette histoire-ci à sa propre autobiographie. Christophe Colomb porte un drapeau représentant Gala en tant que la Vierge Marie. À la droite du navire, Dalí apparaît lui-même en moine, agenouillé derrière une croix. Le thème de Christophe Colomb a été inspiré en partie par une théorie peu connue selon laquelle Christophe Colomb était originaire de Catalogne, région d’Espagne où Dalí est né. Le personnage fantomatique à l’angle inférieur gauche est Saint Narcisse, un saint catalan dont le symbole est la mouche. Selon la légende, des mouches seraient miraculeusement sorties de la crypte où il était enterré pour repousser les envahisseurs français, assurant ainsi la liberté à la région natale de Dali. Saint Narcisse apparaît en tant que personnage transparent et des croix se transforment en mouches à l’intérieur de son corps.

Le Concile Oecumenique (1960). Gala et Dali sont représentés dans cette immense fresque. Dali transforme le couronnement du Pape Jean XXIII en une vision miraculeuse. Gala apparaît entre ciel et terre, tout comme Sainte-Hélène, la mère de Constantin le Grand, le premier Empereur chrétien de Rome. Dalí se représente sous les traits de son héros Velázquez, peintre espagnol du 17ème siècle.

En vieillissant, Dali se tourne de plus en plus vers les grands maîtres du passé à la recherche d’inspiration, et cette toile est à l’image de la dimension ambitieuse d’un retable baroque du 17ème siècle. Il poursuit néanmoins son exploration artistique. Afin de créer l’intéressante texture de l’angle supérieur droit, il trempe une pieuvre dans la peinture et applique les tentacules sur la toile.

En 1949, après son retour en Espagne, Dali redéfinit ses objectifs artistiques, et abandonne sa propre imagerie onirique pour explorer les thèmes universels de la science, de la religion et de l’histoire.

Salvador Dali naquit 9 mois après le décès de son frère à l’âge de deux ans, également nommé Salvador. Alors qu’il avait cinq ans, ses parents l’emmenèrent sur la tombe de son frère, et lui dirent — selon ce qu’il rapporta — qu’il en était la réincarnation. Cette scène aurait fait naître en lui le sentiment d’être la copie de son frère et le désir de prouver son caractère unique dans le monde… il a bien réussi !

Le souvenir de cet enfant reste très présent dans le foyer familial, a tel point que Dali développe une crise d’identité, et il se demande lequel des deux est le vrai Salvador. Cette tragédie familiale hante donc Dali tout au long de sa vie et l’artiste confronte ses sentiments en réalisant ce tableau. Réalisé en 1963, il est entièrement inventé car celui-ci est décédé à l’age de 2 ans.

Le visage du jeune garçon émergeant d’une cascade de cerises ne ressemble ni à Dali ni à un jeune enfant. Dali explique qu’il s’agit d’un portrait combiné : les cerises foncées représentent son frère alors que les cerises plus claires le représentent lui-même. L’idée que les deux Salvador ne font qu’un apparait plus clairement encore par les deux cerises reliées à une même queue au-dessus des lèvres, ainsi que par les cerises foncées et claires qui se rejoignent en une seule molécule sur le nez. Vous découvrirez tout cela en zoomant sur l’image 😉

« Toutes mes excentricités, toutes mes incohérences sont la constante tragique de ma vie [.] Je veux prouver que je ne suis pas le frère mort, mais le vivant », écrira-t-il.

Une autre œuvre fantastique de Dali ! Suivant l’endroit où on se trouve on découvre le corps de son épouse Gala ou le visage d’Abraham Lincoln !

Dali est fasciné depuis toujours par les phénomènes optiques. Il lit dans un journal scientifique qu’il faut 121 pixels pour représenter un visage humain unique, et c’est alors qu’il réalise ce portrait de Lincoln.

Dalí s’attèle à ce défi technique en 1976, alors qu’il a 72 ans. Gala, contemplant un lever de soleil d’une beauté inconcevable, représente la perfection féminine, mais avec des allusions à la mort sous la forme de Lincoln assassiné et de Jésus sur la croix dont la tête est aussi le soleil. Dalí suggère ainsi aussi la nature éphémère de la beauté.

Eloignez cette image de vos yeux et vous verrez apparaître le portrait du Président Lincoln. Magique 🤩

Une autre vision surréaliste 🤣🤣 !

C’est sur cette belle vue géométrique que s’achève notre visite du Musée Dali. Nous connaissions le côté fantasque de Dali avec son « Je suis fou du chocolat Lanvin » et les moustaches qui tremblaient de gourmandise 🤣 !

Un musée dédié à un seul artiste permet vraiment de découvrir celui-ci. A travers cette exposition, nous avons découvert un artiste de génie aux multiples facettes… Bref, on est fan de Savador Dali !!

Nous prenons ensuite la route de notre bivouac qui sera une ferme-restaurant Harvest Host.

Demain, nous partirons en direction d’Orlando où nous retrouverons Cathy et Jacques.


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4 Comments

  1. Fiore Catherine 18/02/2025 à 21h36- Répondre

    Quelle belle visite avec des guides formidables ! Je n’imaginais pas tout ça de Dali. 👍 Bonne continuation

    • Marc et Geneviève 19/02/2025 à 3h53- Répondre

      Nous non plus, ce fut une trés belle découverte 🤩 ! Bises de nous 2

  2. POIRSON Jean-Marc 17/02/2025 à 21h42- Répondre

    Bonjour Genevieve et Marc
    J’aime bien Dali et là je suis servi.
    Quasiment une encyclopédie sur le sujet 😊
    Avec de belles photos de tableaux et la recherche documentaire associée
    C’est tellement dense qu’il faudrait peut-être prévoir un résumé pour les non initiés 😉
    Bonne suite de voyage

    • Marc et Geneviève 19/02/2025 à 3h52- Répondre

      Merci pour ton message.
      On s’est régalé en visitant ce musée…quel plaisir de découvrir cet artiste et de comprendre son œuvre ! Bises à tous les 2

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